suite rp jaykal--Lowen

Content du résultat qu’il avait réussi à provoqué chez la jeune femme, Jaykal avait maintenant la certitude qu’elle tentera de gagné les défis. Il partit donc vers l’auberge pour ne pas être trop loin du lieu de rencontre. Une fraction de seconde plus tard, une super idée lui vint à l’esprit. Il la suivra chez elle et ensuite… ensuite il verra se qu’il fera. Il partit donc dans la même direction qu’elle et tenta de se faire le plus silencieux possible. Il la suivi donc dans le bois.

Elle semblait vouloir arriver chez elle le plus vite possible. Il décida de se faire moins subtile puisqu’a cette vitesse, il était presque impossible d’écouter ni d’apercevoir quoi que se soit sans trébucher dans les bois. La nuit était belle et chaude. Bientôt des gouttes de sueur coulèrent tranquillement sur ses joues.

Elle sembla soudain s’arrêter et Jaykal fit de même. Elle eut un sursaut. Jaykal observa et crut apercevoir une roche et forme de loup. Il n’en était pas sur. Puis, presqu’aussi subitement qu’elle s’était arrêter, elle repartit et Jaykal n’eut plus de moment pour observé la pierre. Ils arrivèrent finalement devant une maison malgré la noirceur ou pouvait apercevoir une petite fumée se dégagé de la cheminé.

Juste avant qu’elle n’entre, il dit :

- Et bien c’est une jolie maison que vous avez la ma chère!

__Furieuse et tempêtant contre l'insolant, Lowen se dirigea vers la forêt. Les maisons des Cemenduriens projetaient des ombres sur le sol, empêchant de distinguer pierres ou nid-de-poule. Bien que legèrement plus calme, la jeune femme se depêchait pour pouvoir dormir quelque peu cette nuit.
__Ne percevant pas les bruits de pas derrière elle, Lowen ne se souciait de rien autour d'elle. Arrivant devant la silhouette d'un loup, elle s'arrêtat et sursauta, comme toujours. Concluant enfin sa marche, une maison se dessina doucement, bien qu'etrangement de la fumée s'echappe de la cheminée. Legèrement inquiète, elle ne perçut pas la présence derrière, jusqu'à ce qu'il parle. Se retournant d'un geste, elle ne put retenir un leger cri de surprise.

_ Messire Jaykal. Cela ne sied guère à un homme de suivre ainsi une jeune femme sans défenses. J'espère juste que vous n'avez point d'idées stupides derrière votre cervelle de moineau !

__Affichant un air candide et innocent, la jeune femme lui sourit avant de partir vers l'interieur, sur ses gardes et la dague à la main. Allait-il la suivre ?? Et qu'allait-elle trouver chez elle ??

- Et bien je ne crois pas que vous êtes « sans défense » comme vous le dite. Dès que j’ai dévoilé ma présence vous avez posé votre main sur la manche de votre dague… Un réflex tout à fait naturel chez un mercenaire. Donc, je ne pense pas que le terme sans défense soit approprié. De plus, j’ai peut être une cervelle de moineau comme vous le dites, mais je suis loin d’être aveugle. Même vos mouvement les plus furtif me paraisse comme en plein jours en cette pleine lune.

Jaykal décida de la suivre, mais sans trop s’imposer. Il ne voulait pas brusquer les choses.... Avant qu’elle n’entre, il lui dit :

- Et non je n’ai pas d’idée stupide, j’ai beau être un homme, je ne pense pas qu’a cela. Par contre, je vous ai suivis parce que je n’ai nulle part ou allé et comme vous me semblez une chique femme, j’espérais que vous alliez accepter de me laisser une place sur le canapé ou quelques chose comme cela. Même coucher sur le sol serai plus confortable que de coucher sur le sol froid de la forêt. Mais je ne vous impose rien, si vous juger que je ne mérite pas cette hospitalité, je rebrousserai chemin et tenterai de me faire un bon petit lit ailleurs.
Jaykal lui laissa un instant court pour réfléchir et poursuivit :

- Et puis quel est votre réponse ?!

Lowen soupira. Il est bien vrai que la fée de la discretion ne c'était pas penché sur son berceau à sa naissance. Mais qu'avaient-ils donc tous ces gens à le lui faire remarquer ?? Enfin passons. Se tournant vers l'importun, la jeune femme failli le menacer de sa dague avant de réfléchir et d'inviter l'homme d'un signe de tête à entrer.

_ Très bien, vous n'aurez qu'à vous trouver une place quelque part. Ne me dérangez pas, ne passez aucune autre porte que celle de l'entrée et surtout, surtout, ne touchez à rien ! annonça la jeune blonde.

Passant dans la pièce à coté, seulement séparée par une étoffe opaque, elle ressortit avec quelques couvertures et un coussin qu'elle jetta à la figure de Jaykal.

_ Si vous avez faim, ne venez pas m'embêter, sortez et chassez. Je n'ai pas de quoi me sustenter, et partager du vide est peu commode. Les latrines sont au fond du jardinet, à droite de la sortie. Evitez les quelques cucurbitacés qui subsistent encore, je ne suis pas encore à la diète.

Et laissant la l'homme, elle partit dans la salle qui lui servait de chambre. Se changeant rapidement, elle se coucha tout aussi rapidement. Mais malheureusement, la présence de l'étranger ne la laissait pas à l'aise.

Jaykal voyait bien qu’elle était réticente à l’idée qu’il couche en sa demeure. Par contre, Jaykal n’avait aucune idée « cochonne » derrière la tête. Il voulait seulement avoir un toit pour enfin bien dormir. Il entra donc et reçu les couvertures sur lui. Avant même qu’il ne lui dise merci, elle était déjà partit dans sa chambre. Comme Jaykal n’avait pas faim, lui aussi s’installa se coucher, mais sur le plancher dans un coin de la pièce, pour se faire le plus discret possible.

La nuit était relativement chaude, alors il ne prit que la plus petite couverture pour dormir. Mais avant de s’installer pour dormir, Jaykal prit la petite bourse qu’il portait à la ceinture et en sortit une petite poigné de pièce d’or qu’il déposa sur une petite table au centre de la pièce Même s’il n’avait pas de maison, Jaykal n’était pas pauvre pour autant. En fait, il ne voulait pas avoir de lieu ou on pouvait facilement le retrouver. Il faut dire aussi que plusieurs personnes en veulent à sa vie. Il repartit donc se coucher, et presque aussitôt, il s’endormi dans un sommeille à l’affut de tous bruits signifiant le danger.